Dans cette nouvelle mini-série, notre patiente mystère a testé: le nouveau traitement minceur au Centre Laseris à Lausanne. La séance a été réalisée par Saowalak, sous la supervision du Dr Perrenoud, avec un appareil truSculpt iD de la marque Cutera.
Aujourd’hui, toute la vérité sur le traitement radiofréquence pour affiner la silhouette
La silhouette… vaste sujet. Entre complexes et résolutions, difficile pour la majorité d’entre nous de d’apprécier notre corps dans le miroir. Évidemment il faut faire attention à ce que l’on mange, mais on a pas toujours envie de dire non à ces douceurs qui nous tentent. Évidemment, il faudrait faire de l’exercice, mais pas toujours facile de se discipliner. Alors quand arrive le printemps, rien qu’à l’idée de devoir essayer mon bikini, je panique déjà.
Alors quand j’ai appris que la révolution du traitement minceur était arrivée dans mon centre dermatologique préféré, je n’ai pas hésité une seule seconde à prendre rendez-vous pour l’essayer en avant-première.
Chez moi, la zone terriblement rebelle est celle de la culotte de cheval. Ce côté bombé sur les cuisses et les fesses, je déteste et il me semble ne voir que ça. Alors la zone à traiter était toute décidée, avant même mon arrivée au cabinet. Comme toujours une prise en charge vraiment rapide, j’ai téléphoné le vendredi et obtenu mon rendez-vous le mardi suivant. Merci pour tant de rapidité…
Le matin même, je naviguais entre une grande excitation et une légère appréhension. Enthousiaste de peut-être enfin me débarrasser de ces cuisses qui me complexent. Et inquiète de ce qui m’attendait. J’avais lu pas mal d’articles sur la radiofréquence, comment ça fonctionne, notamment le déroulement d’une séance et les sensations. Cela reste un appareil qui diffuse de la chaleur, avec des électrodes, cela peut comporter des risques. Mais bon, je sais aussi que le Dr Perrenoud est très prudent, que la sécurité de ses patients est essentielle.
Arrivée au cabinet, je suis immédiatement prise en charge par Saowalak, que je connais déjà car c’est elle qui m’avait fait mon peeling visage. Elle me conduit dans la salle de traitement, et me donne toutes les informations nécessaires. Il est ensuite temps d’aller effectuer les mesures de ma masse corporelle ainsi que les photographies.
Derniers préparatifs
On commence par la séance photo. Une salle aménagée à cet effet, avec un marquage au sol, de manière à pouvoir suivre les résultats avec précision, m’annonce-t-on. Oh là là… je me retrouve alors quasiment nue, dans un délicieux petit string en papier tout à fait seyant, avec une thérapeute qui me photographie sous toutes les coutures. Mais la séance est finalement plutôt amusante. Je dois pivoter tout autour d’un grand schéma sur le sol et on rigole beaucoup.
Après cela, de retour dans l’autre pièce, il s’agit maintenant de mesurer ma masse corporelle. Mesure de ma taille, mon poids, puis je monte sur une sorte de grande balance assez sophistiquée. Je l’empare de deux poignées, puis un grand schéma dévoile tous les secrets de ma morphologie. Masse grasse, musculaire, les nouvelles sont plutôt bonnes et positives concernant mon bilan. Maintenant, il est temps de passer aux choses sérieuses: le traitement minceur à proprement parler.
Le démarrage
Tout d’abord, nous allons déterminer très exactement où seront placées les pièces à main. De quoi s’agit-il ? Ce sont ces espèces de pods carrés, par lesquels la chaleur sera diffusée en profondeur dans mes tissus, pour attaquer la graisse et la dissoudre. Ces pods doivent donc évidemment être placés pile au bon endroit pour pouvoir effectuer leur travail de manière précise et ciblée. Saowalak se munit d’un petit chablon transparent, qu’elle place sur l’extérieur de mes cuisses, et dessine au crayon blanc l’endroit à traiter.
Elle me fait ensuite asseoir sur la table d’examen, puis nettoie mon dos avec une lingette. C’est là que seront collées sur ma peau deux larges adhésifs, qu’elle appelle électrodes, qui permettront aux pads de placés sur mes cuisses de produire leur effet. Je m’allonge, et il est temps de placer les électrodes. Tout se fait avec beaucoup de douceur, et je dois dire que c’est important pour moi, car l’appréhension ne m’a pas encore totalement quittée.
Le docteur ne cesse de venir vérifier que tout se déroule bien. Inspecte le placement des électrodes, des pods, regarde les réglages de la machine et confirme que nous pouvons démarrer.
La machine s’allume, et nous confirmant ainsi sa mise en marche : une voix de femme bien synthétique s’annonce : « trusculpt ». Je rigole… Saowalak m’explique que les pièces ne fonctionneront pas toutes les six en même temps, mais deux par deux par vagues, toutes les 60 secondes, puis 30 secondes, en alternance. Puis vient le moment de la mise en marche.
Le traitement
À la seconde même où l’on démarre, je ressens la chaleur produite qui se diffuse dans mes tissus. Nous commençons à 43 degrés, ce que l’on appelle la chaleur thérapeutique. C’est chaud, mais cela me crée un effet de détente, vraiment profonde. Au bout de la première minute, je me disais justement que ça commençait à devenir quand même un poil chaud, quand la machine passe aux deux pièces chauffantes suivantes. Du coup, soulagement, et je me relaxe à nouveau. On me propose alors de monter d’un demi-degré. Aucun problème, je supporte à merveille. Cette manière de passer d’un pod à l’autre est une merveilleuse invention, à peine une zone chauffe que l’on passe à un autre endroit. Très bien pensé.
Le temps s’écoule ainsi, je continue à trouver la chaleur vraiment agréable. On discute, Saowalak ne me quitte pas une seule seconde. A tout moment elle me demande comment je me sens, si c’est supportable et agréable. Elle vérifie, elle contrôle. Je me sens entre de bonnes mains. On passe alors à 44 degrés, et l’appareil poursuit son travail. Je pourrais presque m’endormir… et me prends à rêver de minceur et de plages ensoleillées.
Puis voilà que le soin se termine déjà. Quinze minutes, c’est vraiment rapide. Et tout à fait entre nous, j’y serais restée longtemps encore. Aurais-je d’autres zones à traiter histoire d’avoir vraiment la silhouette sculptée de mes rêves ? Je vais y réfléchir…
Il est temps de décoller les pièces de mes cuisses. Puis de retirer les électrodes dans le dos. J’ai droit à un petit massage pour appliquer une huile raffermissante, c’est divin. Franchement, je suis à deux doigts de sombrer pour une petite sieste réparatrice.
Comment ça s’est passé ?
J’ai adoré. Il n’y a pas d’autre terme. Vraiment a-do-ré. Cette sensation de chaleur, qui se diffuse, doucement, ça fait un bien fou. Comme dans un bon bain vraiment chaud, l’hiver, après le ski. Je sais bien que je ne suis allée là pour m’offrir une session de spa détente, et pourtant c’est tout l’effet que cela m’a fait. Je peine à revenir sur terre à la fin du traitement, tellement c’était bon. Er si mincir devenait enfin agréable ?
Et après ?
Maintenant, je n’ai rien d’autre à faire que d’attendre. La fonte des graisse a démarré et va se poursuivre au cours des 12 prochaines semaines. Sans même m’en rendre compte, je suis déjà en plein processus minceur. C’est absolument génial ! Je dois donc retourner au cabinet à cette date, et les résultats seront mesurés avec précision. C’est à ce moment aussi que je ferai ma seconde séance si je souhaite davantage de résultat. Je suis sortie de mon soin avec la peau un petit peu rouge à l’endroit qui a été chauffé par la machine. Mais à peine une demi-heure après, on ne remarquait déjà plus rien.
Conclusion
La seule question qui subsiste est celle des résultats. Seront-ils visibles, à la hauteur de mes attentes ? Les études cliniques indiquent 24% de réduction de la masse graisseuse après une seule séance. Les photos avant-après présentées sur le site sont aussi plutôt révélatrices. Nous sommes en janvier, rendez-vous donc en avril pour les photos de mes nouvelles cuisses.
J’ai passé un moment fantastique, et si les résultats sont à la hauteur du moment que je viens de passer en compagnie de cette immense machine, je me réjouis d’avance.
Mais qui est Elle et pourquoi cette série ?
Souvent, les femmes ont peur de poser des questions. En plus, elles auraient envie d’en savoir plus, de lire la vérité sans mensonges ni cachotteries.
L’idée avec cette mii-série témoignages, c’est donc de proposer un petit « guide des copines » 100% transparent, pour avoir un véritable son de cloche authentique et vrai.
Elle, c’est une patiente du Docteur Daniel Perrenoud, au Centre Laseris à Lausanne. Par pudeur et discrétion, elle se cache derrière un petit personnage amusant qu’elle a prénommé Elle. Elle, dans la vraie vie, c’est une femme de quarante ans. Avec deux enfants, un mari, et une vie plutôt bien remplie. Elle travaille dans la communication, et habite à la campagne. Lire sa présentation ici.
Découvrez aussi toute la vérité sur le peeling médical anti-âge ici et ses séances d’épilation définitive ici.
Merci de votre lecture et à bientôt.